|
à droite : Alexandre Gabriac, candidat FN à Grenoble |
La popularité actuelle de l'extrême-droite fait naître plusieurs réactions : on entend des experts télé qui peinent à donner des explications et parlent honteusement de tentations "populistes" des masses, on entend aussi des représentants de parti dominants qui rejettent la "faute" sur le parti opposé. Et ceux qui comptent se rassurer en croyant que le vote FN est un non-vote.
Sur cette toile de fond bordélique, il y a les réactions salutaires de certains mouvements anti-fachos ou foncièrement anticapitalistes. (*)